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    IVG : l'arrêté sur le remboursement à 100 % de tous les actes est paru

    Avec cette nouvelle mesure, les examens de biologie, les échographies ou la consultation de recueil de consentement seront aussi remboursés.

    Source AFP
    Publié le 08/03/2016 à 11:13 | Le Point.fr   Lien
    La loi santé votée en décembre permet de rembourser tous les actes de l'IVG. 

    La loi santé votée en décembre permet de rembourser tous les actes de l'IVG.  © SIPA/ NICOLAS MESSYASZ

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  • El Khomri: le projet de loi travail

    «n’est pas mort-né»

     

    Par AFP 8 mars 2016 à 08:59   Lien

     

     


    La ministre du Travail Myriam El Khomri à son arrivée au bureau national du PS, le rs 2016 à Paris Photo DOMINIQUE FAGET. 

     

     

     

     

    Le projet de loi travail «n’est absolument pas mort-né», «nous cherchons actuellement le bon point d’équilibre», a déclaré mardi la ministre du Travail, Myriam El Khomri, qui s’est dite prête à aller «jusqu’au bout» pour réformer le marché du travail.

    «Il n’est absolument pas mort-né. Il y a actuellement des concertations avec les organisations syndicales et patronales pour apporter des améliorations à ce texte qui, je le rappelle, est un avant-projet», a assuré la ministre sur RTL.

    «J’irai jusqu’au bout pour porter une réforme dans mon pays (...) Il y a bien sûr des améliorations à porter dans ce texte, des équilibres à trouver (...) nous cherchons actuellement le bon point d’équilibre», a-t-elle dit.

    Interrogée sur le bureau national du PS consacré au projet de loi lundi soir, durant lequel Martine Aubry, s’est montrée très critique, Myriam El Khomri a estimé que la maire de Lille avait «eu des propositions constructives (...), notamment sur l’amélioration de la formation».

    Il y a eu «3 heures de débat intéressant», a-t-elle affirmé, ajoutant aussi: «Ce n’est pas absolument pas intimidant, je n’ai de leçons à recevoir de personne».

    Son projet de loi, a-t-elle insisté, vise notamment à «lutter contre la précarité» en apportant «un peu plus de visibilité, de clarté» aux PME sur les conditions de licenciements pour au final «encourager aux recrutements en CDI».

    «On fait un parallèle entre le CPE et ma loi, ce n’est absolument pas la même chose», a-t-elle poursuivi en disant qu’elle «aussi» avait manifesté à l’époque contre le CPE parce qu’il «s’agissait d’un contrat et d’un salaire au rabais en direction des jeunes». «Aujourd’hui, dans ma loi, il y a le droit à la nouvelle chance pour les jeunes dans le compte personnel d’activité, c’est-à-dire que tout jeune qui n’a pas eu accès à un premier niveau de qualification pourra avoir accès toute sa vie à une formation», a expliqué Mme El Khomri.

    «Ce gouvernement n’est pas là contre les jeunes, mais pour favoriser l’emploi durable», a-t-elle insisté alors que les organisations de jeunesse sont l’un des moteurs, avec les organisations syndicales, du premier test de mobilisation mercredi, dans la rue, contre son projet de loi, qui doit être présenté en conseil des ministres dans deux semaines.

    AFP
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    Actualité   Sciences et technos   Environnement

     

    Emmanuelle Cosse affirme que Fessenheim sera bien fermée

    cette année

    Alors que la ministre de l'Écologie Ségolène Royal reste muette sur le sujet, l'ancienne présidente d'EELV a déclaré : "Le calendrier, c'est 2016."

    Source AFP
    Publié le 06/03/2016 à 16:24 | Le Point.fr    lien
    La centrale nucléaire de Fessenheim, photo d'illustration.

    La centrale nucléaire de Fessenheim, photo d'illustration. © AFP/ SEBASTIEN BOZON

    La ministre du Logement Emmanuelle Cosse a assuré que la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin), doyenne du parc nucléaire français dans le viseur de l'Allemagne et de la Suisse, sera bien fermée en 2016. "Le calendrier (de la fermeture de Fessenheim), c'est celui que m'a répété à plusieurs reprises le président de la République, c'est 2016", a déclaré la ministre lors d'un entretien au "Grand Jury" RTL-Le Figaro-LCI.

     

    "Le président de la République s'est engagé à fermer Fessenheim d'ici la fin 2016. C'est ça, la date", a insisté Emmanuelle Cosse. "Le processus est assez simple pour arrêter un réacteur", a ajouté l'ancienne cheffe de file d'Europe Écologie-Les Verts (EELV). Et, "pour aboutir à la baisse de la part du nucléaire" dans la production française d'électricité "d'ici 2025, il faudra fermer d'autres centrales, d'autres réacteurs, évidemment, sur plusieurs années", a-t-elle encore estimé.

     

    Retard de chantier à Flamanville

     

    La ministre de l'Environnement et de l'Énergie, Ségolène Royal, a demandé en octobre à EDF d'entamer la procédure de fermeture de Fessenheim d'ici à "la fin juin 2016", en vue d'une fermeture effective en 2018. Car "pour fermer deux réacteurs comme ceux de Fessenheim, il ne suffit par de tourner un bouton", avait expliqué Mme Royal auparavant.

     

    En septembre dernier, François Hollande avait déclaré que Fessenheim, en service depuis 1977, ne fermerait pas en 2016 comme initialement prévu, et contrairement à l'une de ses promesses électorales de 2012, en raison du retard pris par le chantier de construction du réacteur nucléaire EPR de Flamanville (Manche).

     

    Un niveau de sécurité "globalement satisfaisant"

     

    Située à proximité de la frontière avec l'Allemagne et la Suisse, sur une faille sismique et en contrebas du Rhin, cette centrale suscite l'inquiétude des écologistes français, allemands et suisses depuis des années. Vendredi, Berlin a réaffirmé son souhait de voir fermer Fessenheim "le plus vite possible", invoquant un "risque sécuritaire" posé par son grand âge.

     

    "Du point de vue de la sûreté nucléaire, il n'y a pas de raison de fermer la centrale de Fessenheim" actuellement, a répliqué vendredi l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), jugeant le niveau de sécurité "globalement satisfaisant". Invoquant un besoin de "travaux complémentaires", le ministère de l'Environnement a repoussé sine die cette semaine une réunion initialement prévue mardi prochain pour tracer les grands axes d'évolution des sources d'énergie d'ici à 2023, dans le cadre de l'application de la loi sur la transition énergétique.

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  • Le principe d’une prise en charge du RSA par l’Etat proposé aux départements

    Le Monde.fr avec AFP | 25.02.2016 à 22h49 • Mis à jour le 26.02.2016 à 06h44 lien

    Le premier ministre Manuel Valls, le 25 février 2016.

    Le premier ministre, Manuel Valls, a proposé aux départements le principe d’une prise en charge par l’Etat du financement du revenu de solidarité active (RSA), tout en maintenant les ressources fiscales dynamiques des départements, a fait savoir Matignon jeudi 25 février.

    Au cours d’une rencontre avec les responsables de l’Assemblée des départements de France (ADF), le premier ministre a conditionné sa proposition au fait que « les départements s’engagent à renforcer l’accompagnement [des] bénéficiaires [du RSA] vers l’insertion et l’emploi », écrit Matignon dans un communiqué.

    La rencontre avait pour finalité de trouver des solutions pour faire face aux difficultés des départements à financer les allocations sociales, principalement le RSA, qui pèsent lourdement sur leurs budgets. Des « discussions approfondies » seront engagées prochainement entre l’ADF et les ministres concernés, Jean-Michel Baylet (aménagement du territoire), Christian Eckert (budget) et Estelle Grelier (collectivités territoriales).

    Accord souhaité d’ici à la fin de mars

    Ces discussions devront se tenir « autour des principes proposés par le premier ministre », précise Matignon :

    • une prise en charge de l’Etat « sur la base des dépenses de l’année N-1 », c’est-à-dire 2016 ;
    • « le maintien de ressources dynamiques aux départements, notamment la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), ex-taxe professionnelle), et les droits de mutation à titre onéreux (DMTO) » ;
    • la mise en œuvre « de mécanismes d’incitation financière des départements à renforcer leurs dispositifs d’insertion… ».

    Selon Matignon, la proposition porte sur une recentralisation du RSA « au 1er janvier 2017 ».
    Manuel Valls a souhaité qu’« un accord équilibré » puisse être trouvé avec les départements « d’ici fin mars 2016 », pour permettre notamment de garantir aux allocataires du RSA son versement.

    « Le premier ministre a fait la proposition que nous bâtissions un chemin pour une recentralisation du RSA », a dit le président de l’ADF, Dominique Bussereau, à l’issue de la rencontre. « Nous avons expliqué qu’il y avait un problème en 2016 », a-t-il ajouté, car une quarantaine de départements ne devraient pas être en mesure de financer le RSA cette année. Le premier ministre s’est « engagé » à faire un effort supplémentaire, selon M. Bussereau, qui l’a évalué à « plusieurs centaines de millions d’euros ».

    Fonds d’urgence

    Le gouvernement avait débloqué un fonds d’urgence de 50 millions d’euros à la fin de 2015 pour venir en aide à une dizaine de départements. Selon le président de l’ADF, « le chiffre de 200 millions » d’euros, correspondant à l’aide à apporter à quarante départements en difficulté en 2016, a été évoqué lors de la discussion. Matignon a dit que le premier ministre « rest[ait] ouvert à la discussion », sans plus de précisions.

    Lire :   Financement du RSA : le gouvernement va aider d’urgence une dizaine de départements

    L’ADF doit soumettre les propositions du gouvernement à ses adhérents lors d’une assemblée générale extraordinaire mardi.

    Depuis 2004, les départements versent les allocations sociales et l’Etat doit compenser le montant des prestations. Mais le mécanisme s’est détérioré avec la hausse des dépenses du RSA, que l’ADF estime en moyenne de 9 % à 10 % par an.

    En 2015, les dépenses du RSA ont avoisiné 10 milliards d’euros, avec un montant de près de 4 milliards restant à la charge des départements.

    Lire aussi :   Le succès de la prime d’activité risque de poser un problème de financement



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  • Couac gouvernemental sur Notre-Dame-des-Landes

    Julie Chauveau / Chef de service | Le 21/02 à 15:45, mis à jour à 17:14Lien
    Ségolène Royal Jean-Marc Ayrault 2012 lors d’un meeting dansla région ¨Poitou Charente. Les ministres s’opposent projet construction l’aéroport Notre Dame LandesSégolène Royal et Jean-Marc Ayrault en 2012 lors d’un meeting dansla région ¨Poitou Charente. Les deux ministres s’opposent sur le projet de construction de l’aéroport de Notre Dame des Landes - PATRICK KOVARIK /AFP
     
     

    La ministre de l’Environnement Ségolène Royal s’est prononcée en faveur de l’élargissement du périmètre sur lequel pourrait être organisé le référendum sur l’aéroport de Notre dame des landes. Jean-Marc Ayrault, ministre des affaires étrangères et ancien maire de nantes ne le souhaite pas.

    Le référendum sur l’aéroport de Notre Dame des Landes sème la confusion au gouvernement, comme beaucoup le craignaient. Au «  Grand Rendez-Vous » sur Europe 1/ »Le Monde »/iTélé.la ministre de l’Environnement, Ségolène Royal, s’est prononcée en faveur d’un élargissement à d’autres départements que la Loire-Atlantique du référendum local promis voilà dix jours par le chef de l’Etat.«  Au départ, tout le monde était contre et maintenant, ce référendum est réclamé » a-t-elle expliqué. A la question êtes vous pour ou contre la participation des quatre départements limitrophes de la Loire-Atlantique (Ile-et-Vilaine, Maine-et-Loire, Morbihan et Vendée) qui ont exprimé leur volonté de participer à la consultation, la ministre a répondu  : « Oui, bien sûr, cela va dans le bon sens puisqu’au départ personne n’en voulait ».

     

    Une décision dans un mois

    Une prise de position qui va à l’encontre de la volonté exprimée par le Premier Ministre Manuel Vals qui avait suggéré la semaine dernière de se limiter à la Loire-Atlantique avant de reconnaître que les modalités juridiques devraient être précisées « au plus tard dans un mois  ». Sans surprise, le ministre des Affaires étrangères et ancien maire de Nantes Jean-Marc Ayrault s’est, lui, prononcé dimanche, sur France 3 en faveur de la position du Premier Ministre. « Il faut que ce soit le périmètre le plus proche du territoire impacté  », a-t-il estimé, tout en soulignant qu’il laisse le gouvernement choisir le périmètre.Le chef de l’Etat avait annoncé le 11 février la tenue de ce référendum local espérant sortir de ce dossier qui oppose depuis des décennies les partisans d’un projet de développement permettant de fermer un aéroport situé près de la ville aux associations de défense de l’environnement qui dénoncent un « vieux » projet, contraire aux objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre, et dont le coût empêcherait les collectivités de développer des modes de transport doux.

    Un dossier vieux de 50 ans

    Cette guérilla ne faiblit pas. La région Pays de la Loire dirigée par le Répubicain Bruno Retailleau a lancé une pétition demandant l’évacuation de la ZAD, affirmant avoir déjà 15.000 signatures, mais son site a été piraté début février. Les associations viennent aussi de brandir une note de la direction régionale de l’environnement qui contredit les arguments pointant l’impossibilité d’agrandir l’aéroport actuel et son impact sur l’environnement. Et en coulisse, les juristes planchent sur le projet d’ordonnance sur la démocratie environnementale, dont un chapitre porte sur la consultation des électeurs sur des projets relevant de la compétence de l’Etat. Un texte qui rendrait organisable le référendum promis. De fait, une collectivité locale ne peut demander à ses électeurs de se prononcer que sur des projets qui la concernent. Or la construction de l’aéroport est du ressort de la compétence del'Etat, sous la houlette de la direction générale de l’aviation civile. « En l’absence de texte adopté il n’existe pas d’outil juridique pour faire un référendum ou une consultation » souligne l’avocat spécialiste du droit de l’environnement Arnaud Gossement.

    Julie Chauveau
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  • Organisation du travail, licenciement, référendum: les principaux points du projet El Khomri

    Par AFP 17 février 2016 à 23:06   Lien
    La ministre française du Travail, Myriam El Khomri, le 17 février 2016 à Paris
     
     

    La ministre française du Travail, Myriam El Khomri, le 17 février 2016 à Paris Photo THOMAS SAMSON. AFP

     

    Majoration des heures supplémentaires , plafonnement des indemnités prud’homales, référendums en entreprise, licenciement économique : voici les principaux points du projet de loi de la ministre du Travail Myriam El Khomri.

    Il sera présenté le 9 mars en Conseil des ministres.

    REFONDATION DU DROIT DU TRAVAIL

    L’article 1er crée un préambule du code du travail , composé des «principes essentiels », qui servira de base de travail à la Commission de refondation du code du travail.

    SMIC , CDI, 35 HEURES

    Trois «fondamentaux» sont inscrits dans le texte: «un salaire minimum est fixé par la loi»; «le contrat de travail est à durée indéterminée»; «la durée légale du travail effectif des salariés à temps complet est fixée à trente -cinq heures par semaine » et «toute heure accomplie au-delà (...) est une heure supplémentaire» qui ouvre droit à une compensation.

    Pour autant, dans le cadre de la loi, «la primauté de l’ accord d’entreprise en matière de durée du travail devient le principe de droit commun».

    HEURES SUPPLÉMENTAIRES

    La majoration minimum de 10% pour la rémunération des heures supplémentaires est maintenue. Ainsi, les entreprises pourront désormais descendre sous le seuil de 25% de majoration jusqu’à présent défendu par les branches professionnelles . A défaut d’accord, la majoration est de 25% pour les huit premières heures supplémentaires, et de 50% pour les suivantes.

    LICENCIEMENT ÉCONOMIQUE

    Des critères plus précis définissent le motif économique d’un licenciement: les difficultés économiques sont caractérisées «soit par une baisse des commandes ou du chiffre d’ affaires pendant plusieurs trimestres consécutifs en comparaison avec la même période de l’année précédente, soit par des pertes d’ exploitation pendant plusieurs mois, soit par une importante dégradation de la trésorerie , soit par tout élément de nature à justifier de ces difficultés». S’ajoute comme critère «une réorganisation de l’entreprise nécessaire à la sauvegarde de sa compétitivité».

    PLAFONNEMENT DES INDEMNITÉS PRUD’HOMALES

    Il est applicable en cas de licenciement sans cause réelle et sérieuse . L’indemnité minimale de six mois applicable actuellement pour les salariés de plus deux ans d’ ancienneté est supprimée. Pour un salarié dont l’ancienneté est inférieure à deux ans, l’indemnité sera de trois mois de salaire ; entre deux ans et moins de cinq ans, de six mois de salaire, de neuf mois pour une ancienneté entre 5 et 10 ans. Le maximum est de 15 mois pour une ancienneté de plus de 20 ans.

    REFERENDUM

    Les accords collectifs devront être majoritaires. Mais afin d’éviter des situations de blocage, des syndicats représentant au moins 30%» des salariés pourront demander une consultation des salariés. Et un accord sera «valide s’il est approuvé par les salariés à la majorité des suffrages exprimés».

    Actuellement, pour qu’un accord soit valide il doit recueillir soit la signature de syndicats ayant obtenu au moins 50% des voix aux élections professionnelles, soit la signature de syndicats représentant 30% des salariés mais à condition que les syndicats représentant 50% des salariés ne s’y opposent pas.

    COMPTE PERSONNEL D’ACTIVITÉ

    Visant à «protéger les actifs» et présenté par François Hollande la grande réforme sociale du quinquennat, il est ouvert à toute personne âgée d’au moins 16 ans, occupant un emploi ou à la recherche d’un emploi. Il est constitué «du compte personnel de formation (CPF) et du compte personnel de prévention de la pénibilité».

    FORFAIT-JOUR

    Le projet «sécurise» le forfait -jour et permet son utilisation dans les TPE et PME. Le forfait-jour est un régime dérogatoire aux 35 heures qui permet de rémunérer des salariés en fonction du nombre de jours travaillés par an et non d’ horaires hebdomadaires.

    AFP
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