• Live en cours Législatives 2022 en direct : «Je n’aurai pas la prétention d’être premier ministre », reconnaît Eric Zemmour ; Olivier Faure négocie un accord au siège de LFI

     

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    Législatives 2022 en direct : «Je n’aurai pas la prétention d’être premier ministre », reconnaît Eric Zemmour ;  Olivier Faure négocie un accord au siège de LFI

    « Je veux être le président de Reconquête !, c’est-à-dire le président du parti de l’avenir », a estimé Eric Zemmour dans une interview accordée à BFM-TV.

     
     
     

     

    19:54

     « Tout est possible » concernant une union avec le Rassemblement national, estime Eric Zemmour

    Toujours sur BFM-TV, Eric Zemmour a répondu aux questions concernant un potentiel accord avec le Rassemblement national qu’il appelle de ses vœux. « Tout est possible, a-t-il estimé. Si Marine Le Pen veut vraiment défendre les idées nationales, et je ne doute pas qu’elle le veuille, si elle veut vraiment résister à l’Assemblée, avec un grand groupe, à la force et la poussée mélenchoniste, au pouvoir d’Emmanuel Macron, il faut qu’elle accepte de faire un accord. Je ne dis pas qu’il faut qu’elle me fasse un cadeau. Je ne demande pas de cadeaux », a-t-il dit.

    Relancé sur un mot aimable qu’il pourrait adresser à Marine Le Pen, Eric Zemmour a estimé que « c’est être très aimable de dire qu’elle a gagné le combat. Vous savez, moi, je ne me présentais pas pour battre Marine Le Pen. Mon objectif n’était pas cela. Marine Le Pen a gagné, elle est arrivée au second tour, mais elle a perdu le second tour. »

    Concernant le faible nombre de députés que son parti pourrait avoir, M. Zemmour s’est montré lucide. « Ce sera très difficile. Ce mode de scrutin est fait pour qu’il y ait des alliances. Vous savez le front national est resté longtemps un parti sans député. Jean-Luc Mélenchon n’avait pas beaucoup de députés, et pourtant… C’est la présidentielle qui détermine la vie politique en France. » Il a également estimé que le parti aurait, pourtant, « 577 candidats ».

     

     

    19:37

    « Je n’aurai pas la prétention d’être premier ministre », déclare Eric Zemmour

    Dans une interview accordée à BFM-TV, Eric Zemmour s’est projeté sur les élections législatives à venir. Interrogé sur la déclaration de Jean-Luc Mélenchon qui s’imagine à Matignon, M. Zemmour a répondu :

    Moi, je n’aurais pas la prétention d’être premier ministre, surtout après avoir voulu être président de la République. Je veux être le président de Reconquête !, c’est-à-dire le président du parti de l’avenir. Je le pense sincèrement (…) en fonction de ce que je vois venir, inéluctablement. Nous devons être d’ailleurs le parti de la transmission.

    Il a poursuivi son propos en expliquant les différences de sa formation politique. « Nous ne devons pas être un parti comme les autres. Vous savez, la plupart des partis songent à la prochaine élection. Moi, à Reconquête !, je veux penser à la prochaine génération. C’est-à-dire que je veux former une génération », s’avance-t-il.

    Concernant les élections législatives, M. Zemmour sera-t-il candidat ? « Je suis très tenté, a-t-il répondu. J’hésite encore. Est-ce que je pourrais, en me présentant dans une circonscription, aider tous mes camarades qui sont sur le pont ?, s’est-il interrogé. C’est une histoire de quelques jours. Mon bonapartisme me tente et me pousse à me présenter. »

    Concernant les obstacles qui le freinent, il a fait savoir qu’il fallait « mener la campagne à Paris, mener la campagne nationale pour aller aider les uns et les autres. » « Vous n’avez plus que quelques jours à attendre, a-t-il répété, avant d’imaginer les circonscriptions dans lesquelles il pourrait se présenter. Il y a quelques circonscriptions où j’ai fait des scores supérieurs à 20 %. On verra », dit-il en évoquant le Var ou Paris et faisant part d’une « décision imminente ».

     

     

    18:53

    « Mélenchon tente une OPA sur l’ensemble de la gauche », dénonce Jean-Christophe Cambadélis

    Jean-Christophe Cambadélis, le prédécesseur d’Olivier Faure en tant que premier secrétaire du Parti socialiste, entre 2014 et 2017, réitère dans une interview à Libération publiée cet après-midi son opposition à une union derrière la bannière de La France insoumise en vue des élections législatives. « J’étais favorable à un front populaire de tous plutôt que de tous derrière L’Union populaire de Jean-Luc Mélenchon, fait-il savoir. Je pense qu’on fait une erreur pour le PS, parce que le programme de Mélenchon est une rupture par rapport à l’histoire socialiste et parce qu’il n’est pas praticable. Il ne peut unir ni les gauches ni les Français. »

    Pour M. Cambadélis, la position de Jean-Luc Mélenchon et de son parti sur l’Europe « induit une sortie » de l’Union européenne. Ensuite, « la VIRépublique avec des élus révocables, les augmentations tous azimuts non échelonnées dans le temps ou encore la retraite à 60 ans, ça va coûter 47 milliards d’euros », comptabilise-t-il. Pour lui, le désaccord qu’il a avec LFI « est à la fois programmatique mais aussi une question de faisabilité. Mélenchon tente une OPA sur l’ensemble de la gauche mais je n’ai aucune animosité vis-à-vis de lui ».

    De son côté, Rachid Temal, sénateur PS du Val-d’Oise, défend une position moins tranchée, signe des courants qui traversent le parti actuellement. « Oui à l’union de la gauche, du moment qu’elle est sérieuse et plausible », déclare-t-il à Franceinfo. Pour lui cet accord potentiel entre le PS et la LFI ne doit pas être « une soumission derrière un logo, au point de sacrifier les différentes formations politiques qui existent dans notre pays et agissent au quotidien ».

     

     

    18:37 Pour approfondir

    Tensions au sein de la majorité pour la répartition des circonscriptions pour les législatives

    Loin de la formation unique qu’aurait souhaitée le chef de l’Etat, l’actuelle majorité est en proie aux divisions entre différents groupes ambitionnant d’obtenir des circonscriptions. Les tensions sont notamment vives avec Horizons, le mouvement fondé par l’ancien premier ministre Edouard Philippe à l’automne dernier. Un article de Mariama Darame, à lire ici :

    Lire aussi : Législatives 2022 : la majorité d’Emmanuel Macron éclatée entre différents mouvements avant les législatives

     

     

    18:34

    Législatives : la majorité table sur une première liste de candidats investis en « milieu de semaine »

    Traversée par des mouvements d’humeur des chefs de file de ses différentes chapelles, la majorité tente de se mettre en ordre de marche pour les élections législatives en planchant sur les investitures de ses candidats, dont une première liste est attendue en « milieu de semaine », avant une deuxième « en fin de semaine ».

    Deux réunions se sont tenues, dimanche, à Paris. Dans l’après-midi, le président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, a reçu dans son bureau en toute discrétion le patron du MoDem, François Bayrou et celui d’Horizons, Edouard Philippe, ainsi que leurs bras droits respectifs, le ministre des relations avec le Parlement, Marc Fesneau, et le député Pierre-Yves Bournazel.

    En soirée, c’est à l’Elysée qu’un autre conciliabule s’est tenu, en présence pour LRM de Richard Ferrand et du patron du parti, Stanislas Guerini, ainsi que du ministre Julien Denormandie et l’eurodéputé Stéphane Séjourné. Le MoDem était à nouveau représenté par Marc Fesneau, tandis que les ministres Gérald Darmanin, Sébastien Lecornu et le député Thierry Solère incarnaient la branche droite de la majorité présidentielle Le secrétaire général de l’Elysée, Alexis Kohler, et le conseiller présidentiel Pierre Herrero complétaient la tablée, à laquelle n’avait pas été convié, cette fois, Horizons.

     

    « 1er-Mai : 116 500 manifestants en France selon l’intérieur, plus de 210 000 selon la CGT ; des heurts à ParisGuerre en Ukraine. Une étrange épidémie d’explosions et d’incendies frappe la Russie »
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