• Fraude fiscale : un record de 21 milliards d’euros de redressements en 2015

    LE MONDE ECONOMIE | 03.03.2016 à 12h07 • Mis à jour le 03.03.2016 à 16h45 | Par Patrick Roger

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    2015 aura été une année record pour le contrôle fiscal : les redressements ont, pour la première fois, dépassé la barre des 20 milliards d’euros pour atteindre 21,2 milliards, soit une progression de 18 % par rapport à l’année précédente. C’est à l’occasion d’un déplacement, jeudi 3 mars, à la Direction des vérifications nationales et internationales (DVNI), chargée du contrôle des très grandes entreprises réalisant un chiffre d’affaires supérieur à 152,4 millions d’euros, que le ministre des finances , Michel Sapin, et le secrétaire d’Etat au budget, Christian Eckert, ont présenté ces résultats.

    Depuis 2013, la lutte contre la fraude fiscale a été considérablement renforcée. A la fois grâce au renforcement de l’arsenal législatif – pas moins de 70 mesures en quatre ans – et par l’amélioration des moyens qui y sont consacrés. Dont le fameux service de traitement des déclarations rectificatives (STDR), qui permet aux contribuables possédant un compte à l’étranger non déclaré de régulariser leur situation.

    Depuis sa création, en juin 2013, le STDR, qui compte désormais 159 agents, a enregistré 44 894 dossiers de régularisation. Ce sont ainsi 26,7 milliards d’euros qui sont « sortis de l’ombre » , dont un peu plus de 90 % étaient domiciliés en Suisse.

     

    En 2015, entre les droits et les pénalités, 2,65 milliards d’euros sont rentrés dans les caisses de l’Etat pour un total de 4,55 milliards depuis la création du service. La loi de finances pour 2016 prévoit un objectif de 2,4 milliards d’euros.

    L’administration mieux armée

    En 2015, donc, le montant total des redressements fiscaux et des sanctions pour les particuliers et les entreprises s’élève à 21,2 milliards d’euros, dont 16,1 milliards de droits nets et 5,1 milliards de pénalités et intérêts de retard.

    Le principal résultat provient de l’impôt sur les sociétés et, notamment, des contrôles sur les grandes entreprises. « Il faut tordre le cou à l’idée que le rendement du contrôle fiscal reposerait sur un matraquage des petits contribuables. C’est faux !, insiste M. Eckert. Le rendement du contrôle fiscal repose essentiellement sur les grandes entreprises. »

    Ce seul contrôle a rapporté 5,8 milliards d’euros en 2015 – contre 4,2 milliards en 2014 –, soit plus du quart des recettes totales. Les pénalités infligées sont en hausse de 650 millions d’euros d’une année sur l’autre tandis que le montant des droits nets recouvrés est passé de 3,81 milliards à 4,83 milliards. L’administration fiscale est désormais mieux armée pour s’attaquer aux pratiques abusives, y compris quand elles concernent de très grandes entreprises.

    Le plus gros dossier de redressement traité en 2015 a porté sur une somme de 1,4 milliard d’euros. L’adoption du projet « BEPS » de lutte contre l’érosion de la base d’imposition et le transfert de bénéfices au G20 d’Antalya (Turquie), en novembre 2015, marque à cet égard une étape importante dans la coopération internationale contre les pratiques des multinationales. Les échanges d’informations entre les administrations fiscales sont aussi en nette progression. Le nombre de réponses reçues par la France a presque doublé en quatre ans.

    « Il faut aller plus loin »

    Restent néanmoins des points de faiblesse. Malgré les nouveaux moyens alloués à la lutte contre la fraude à la TVA, les résultats ne sont guère probants : les redressements ont à peine progressé de 100 millions d’euros entre 2014 et 2015. « Il faut aller plus loin », reconnaît le secrétaire d’Etat au budget.

    De nouveaux outils législatifs ont été adoptés afin de contrer des types de fraude bien identifiés comme dans la vente à distance, les sociétés éphémères du bâtiment et des travaux publics ou le secteur des véhicules d’occasion. Mais cela reste encore balbutiant. En outre, tous les commerçants seront tenus, d’ici deux ans, d’être équipés de logiciels de caisse non frauduleux.

    En dépit des progrès enregistrés dans la lutte contre la fraude fiscale, il y a encore du chemin à parcourir pour améliorer son efficacité, d’autant que le développement de l’économie numérique soulève de nouveaux enjeux. Dans ce domaine, il s’agit en somme d’un perpétuel recommencement.

    Lire aussi :   UBS : le flux de repentis fiscaux ne se tarit pas

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  • Réforme du code du travail : l’union syndicale se fragilise

    Le Monde.fr avec AFP | 03.03.2016 à 08h26 • Mis à jour le 03.03.2016 à 16h26   Lien

    La ministre du travail, Myriam El Khomri, le 18 février.

    Est-ce la fin de l’unité syndicale contre l’avant-projet de loi de Myriam El Khomri sur la réforme du travail ? Les représentants d’une dizaine de syndicats ont planché, jeudi 3 mars, sur des propositions d’amendement à la réforme, jugée unanimement trop favorable au patronat. Mais à l’issue de la réunion, seuls cinq syndicats (la CFDT, la CFE-CGC, la CFTC, l’UNSA et la FAGE, syndicat étudiant) se sont accordés sur une liste de griefs.

    Dans une déclaration commune, ces cinq syndicats affirment que ce projet de loi « ne doit pas être seulement ajusté, mais impérativement modifié en profondeur, afin de le rééquilibrer en faveur des salariés ». Ils demandent notamment le retrait de l’article plafonnant les indemnités prud’homales pour licenciement abusif et la réécriture de l’article définissant les conditions de licenciement économique. Pour la CGT, « le texte n’est pas signable. il est trop flou et interprétable comme on veut ».

    Le texte de l'intersyndicale loi @CFDT @cfecgc @UNSA_officiel @SyndicatCFTC @La_FAGE

    Michèle Biaggi, de Force ouvrière, s’est dite « choquée » d’avoir été mise devant le fait accompli par les cinq organisations signataires qui ont mis, selon elle, sur la table un projet de déclaration tout préparé.

    La numéro deux de la CFDT, Véronique Descacq, a elle aussi regretté la situation : « Il y a des organisations syndicales en France qui préfèrent ne pas faire de propositions, on l’a encore vu ce matin ». Tous les syndicats, y compris les non-signataires, doivent se revoir le 18 mars.

    Lire aussi :   Syndicats, politiques, société civile… Qui s’oppose au projet de loi El Khomri ?

    « Rééquilibrer » le texte

    Dans le même temps, la ministre du travail, Myriam El Khomri, poursuit jeudi le cycle de rencontres entamé la semaine dernière pour discuter d’amendements possibles. Elle a rencontré Philippe Louis (CFTC), Philippe Martinez (CGT), François Asselin (CGPME) et doit voir jeudi soir Pierre Gattaz (Medef). Avant même ces rencontres, le gouvernement s’était dit prêt à revoir « les curseurs » de certaines mesures, mais pas la philosophie générale de la réforme.

    A l’issue de sa rencontre avec Mme El Khomri, le président du syndicat chrétien CFTC, M. Louis, pense que le gouvernement « devrait bouger sur les indemnités prud’homales, mais ce ne sera pas retiré  ».

    Autre point de crispation, les dispositions sur le licenciement économique. Pour M. Louis, qui estime que le gouvernement a la « volonté de rééquilibrer » le texte, « ça peut bouger sur le périmètre [du licenciement économique], pour que le juge puisse apprécier la situation économique d’un groupe sur l’ensemble du périmètre européen. »

    Lire aussi :   Temps de travail, licenciement, prud’hommes : ce que contient le projet de loi d’El Khomri

    Consultations à Matignon avec les partenaires sociaux le 7 mars

    Une seconde réunion intersyndicale est également organisée jeudi après-midi au siège de la CGT, où il sera évoqué les contours d’une mobilisation, sans doute le 31 mars. L’UNSA, la CFTC et la CFDT seront absentes.

    D’ores et déjà, des mobilisations sont prévues le 9 mars, à l’appel d’organisations de jeunesse et de syndicats. « C’est une première étape. Pas sûr que le gouvernement annonce un changement ce jour-là. La date du 31 mars reste d’actualité » , souligne Philippe Martinez, numéro un de la CGT.

    Les consultations se poursuivront ensuite dès lundi 7 mars à Matignon où le premier ministre, Manuel Valls, recevra individuellement les organisations syndicales et patronales avec les ministres du travail, Mme El Khomri, et le ministre de l’économie, Emmanuel Macron. Après le conseil des ministres du 24 mars, le Parlement prendra le relais, à la fin avril, pour une adoption définitive prévue d’ici à la pause estivale.

    Lire aussi :   35 heures : la loi El Khomri, dernière d’une longue série d’assouplissements



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    Calais : le Royaume-Uni débloque

    22 millions d'euros de plus

    03 Mars 2016, 16h06 | MAJ : 03 Mars 2016, 16h34   Lien

     

       Amiens (Somme), jeudi 3 mars 2016. Le Premier ministre britannique David Cameron et le président français François Hollande au sommet franco-britannique.
    Amiens (Somme), jeudi 3 mars 2016. Le Premier ministre britannique David Cameron et
    le président français François Hollande au sommet franco-britannique. (REUTERS/Philippe Wojazer.)

     

    Le Royaume Uni a décidé de débloquer 22 millions d'euros cette année pour aider la France à gérer la crise des migrants à Calais, selon un texte signé ce jeudi lors d'un sommet franco-britannique à Amiens (Somme), en présence du Premier ministre britannique David Cameron et du président français François Hollande.

     

     



    Selon ce texte, cette somme sera notamment affectée à  :
    • Des infrastructures prioritaires de sécurité à Calais (Pas-de-Calais) pour soutenir le travail des forces de l'ordre françaises.
    • La gestion des centres d'hébergement.
    • L'éloignement des migrants économiques qui ne sont pas «en besoin de protection».

    La contribution britannique à la gestion de la crise est actuellement «de plus de 60 millions (...), il y aura une vingtaine de millions supplémentaires», avait annoncé dès ce jeudi matin le secrétaire d'Etat aux affaires européennes, Harlem Désir.

    Sur la question délicate des mineurs isolés perdus dans la «jungle» de Calais en attendant de pouvoir rejoindre des membres de leur famille outre-manche, François Hollande a estimé que leur sort doit être réglé «encore plus vite et encore plus efficacement».

    Deux autres textes doivent être signés à Amiens (Somme) pour renforcer la coopération bilatérale en matière de défense et de lutte contre le terrorisme. A l'ordre du jour notamment, la mise au point d'une force expéditionnaire conjointe franco-britannique de 7000 militaires. Paris et Londres veulent également développer leur coopération en matière d'armement (drone, missiles, guerre des mines sous-marines).

    David Cameron et François Hollande participaient dans les murs de la préfecture d'Amiens au 34e sommet franco-britannique.

    VIDEO. Migrants: la question des mineurs isolés sur la table du sommet franco-britannique


    Migrants: la question des mineurs isolés sur la... par BFMTV

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    Neymar et son secret enfin révélé…

     

     

    Après chaque match intense, Neymar enfile son drôle de pantalon...

    Après chaque match intense, Neymar enfile son drôle de pantalon... (twitter_@neymarjr)

     

    Par Sylvain Labbe
    Publié le 2 mars 2016 à 11h55Mis à jour le 3 mars 2016 à 12h09

     

    Si la MSN du Barça est encore inarrêtable cette saison, c’est aussi parce qu’elle échappe aux gros pépins physiques. Neymar en est le parfait exemple qui bénéficie d’une technologie de pointe pour se préserver et récupérer après chaque match.

     

    Qu’elle est loin l’époque de George Best lorsque l’ancienne tête brulée de Manchester United vivait sa carrière sans contrainte et en s’adonnant à toutes les addictions, ou presque. Quarante ans plus tard et un Cristiano Ronaldo, modèle d’hygiène de vie, s’astreint, lui, à un régime draconien, destiné à maintenir la star portugaise au plus haut niveau. Jusqu’à 35 ans ou plus encore.

     

     

    Ronaldo, sa recette d’Apollon pour durer http://www.sports.fr/football/espagne/articles/ronaldo-sa-recette-d-apollon-pour-durer-1458843/ 

     

     

    Neymar, son rival, n’échappe pas à ce souci permanent de soigner son physique soumis aux cadences infernales du calendrier. La photo publiée par l’attaquant du Barça à l’issue de la victoire face à Séville dimanche (2-1) montre ainsi le Brésilien, non seulement avec une poche de glace placée sur son épaule, soumise à un choc face aux Andalous, mais surtout équipé d’un appareillage mystérieux. Avec cette légende : "Après le match".

    
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    Turquie : deux femmes abattues

    après avoir mitraillé un poste de police

    03 Mars 2016, 12h11 | MAJ : 03 Mars 2016, 12h10   Lien

     

      Capture d'écran. Deux femmes non identifiées ont attaqué jeudi matin un poste de police dans le district de Bayrampasa à Istanbul.  DR/ CNN TurkCapture d'écran. Deux femmes non identifiées ont attaqué jeudi matin un poste de police dans le district de Bayrampasa à Istanbul. 

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    Elles ont calmement sorti un fusil mitrailleur de leur sacs à main. Deux militantes d'un groupuscule d'extrême gauche interdit ont attaqué jeudi matin un poste de police dans le district de Bayrampasa, à Istanbul, sans faire de blessé selon un premier bilan.

     

     

     Elles ont réussi à prendre la fuite avant d'être «neutralisées» par les forces de l'ordre.



    La chaîne d'information CNN-Türk a de son côté affirmé que les deux femmes, présentées dans les médias turcs comme des «terroristes», s'étaient retranchées dans un bâtiment situé à proximité du lieu de l'attaque. La police a donné l'assaut en fin de matinée et les a abattues, selon CNN-Türk.

    Selon l'agence de presse Dogan, ces deux femmes avaient lancé plusieurs grenades puis ouvert le feu contre le quartier général stambouliote des unités de la police anti-émeute. Les fonctionnaires avaient riposté et blessé une des deux assaillants.


    La Turquie vit depuis plusieurs mois en état d'alerte permanente depuis une série d'attentats meurtriers sur son sol.

    Vingt-neuf personnes ont été tuées le 17 février dans une attaque suicide à la voiture piégée visant des véhicules militaires dans le coeur de la capitale Ankara, qui a été revendiqué par une faction kurde radicale, les Faucons de la liberté du Kurdistan (TAK), proche du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK, interdit).

    En 2015, la Turquie a été frappée par quatre attentats à la voiture piégée, à Ankara, Istanbul, dans le sud-est et à la frontière syrienne, tous attribués aux jihadistes du groupe Etat islamique (EI).

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  • Yves Guéna, gaulliste et ex-président du Conseil constitutionnel, est décédé

    Ce gaulliste historique, qui avait accompagné le général de Gaulle à Londres et était devenu son ministre, est mort à l'âge de 93 ans.

    Source AFP
    Publié le 03/03/2016 à 10:49 - Modifié le 03/03/2016 à 14:58 | Le Point.fr   Lien
    Yves Guéna à droite avec Pierre Mazeaud à gauche et Charles Pasqua au centre, en 2009.

    Yves Guéna à droite avec Pierre Mazeaud à gauche et Charles Pasqua au centre, en 2009. ©AFP/ CHARLES PLATIAU

     
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  • Nicolas Sarkozy au Salon de l’Agriculture :

    "Il y a urgence à changer de président"

    SIPA

           
     

    Le Salon de l’Agriculture est un rendez-vous incontournable pour tous les hommes politiques, mais surtout, cette année, pour l’ancien chef de l’Etat Nicolas Sarkozy qui n’a pas encore officiellement déclaré sa candidature dans la course à la primaire à droite. Pour marquer sa visite, il a fustigé François Hollande : "depuis que François Hollande est au pouvoir, on est passé de 10 à 8 milliards d’excédent commercial".

    Nicolas Sarkozy passe à l’attaque. Dans un entretien au Parisien-Aujourd’hui en France publié ce mercredi, l’ancien président n’épargne pas son successeur à l’Elysée, à qui il reproche d’avoir "menti aux Français" et de diriger le pays dans "l’impuissance et l’improvisation". En témoigne, à son sens, la gestion de l’avant-projet de loi El Khomri, dont il pointe les "tergiversations".

    Au Salon de l’Agriculture, les attaques sont devenues encore plus virulentes. Arrivé à 7h30 pour un petit-déjeuner avec des représentants du syndicat agricole FNSEA, le président des Républicains a déclaré que jamais il n’avait vu la France "dans un tel état de stress". "Je ne sais pas si c’est un hasard mais depuis que François Hollande est au pouvoir, on est passé de 10 à 8 milliards d’excédent commercial", a-t-il ajouté.

    "Est-ce que la France va pouvoir continuer à exister ? C’est un problème identitaire absolument central", a-t-il évoqué. "Je suis venu proposer des solutions", explique-t-il en affirmant que les charges doivent "absolument" diminuer et le nombre de normes être revu à la baisse. "Les agriculteurs savent pertinemment faire la différence entre nous qui voyons les agriculteurs comme des entrepreneurs et les socialistes qui les considèrent comme des conservateurs du territoire", a encore affirmé Nicolas Sarkozy, pour qui "il y a urgence à aider les éleveurs et à changer de président".

    Outre les critiques, Nicolas Sarkozy a expliqué que ce n’est pas encore le moment d’officialiser sa candidature. "C’est un peu triste que l’on parle de ça alors qu’il y a une telle crise des agriculteurs, une telle détresse du monde rural plutôt qu’à une actualité qui n’est pas de saison", lance-t-il.

    Lors de cette visite au Salon de l’Agriculture, Nicolas Sarkozy était accompagné de plusieurs responsables LR, comme Christian Jacob, président du groupe à l’Assemblée nationale et ancien syndicaliste agricole, Éric Woerth, Daniel Fasquelle, Guillaume Larrivé, Maud Fontenoy.

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  • Indonésie : l’alerte au tsunami levée

    après un séisme

    Le Monde.fr avec AFP | 02.03.2016 à 14h25 • Mis à jour le 02.03.2016 à 16h33   Lien

    Localisation du séisme qui a touché le large de Sumatra, le 2 mars.

    Un tremblement de terre de magnitude évaluée à 7,8 a frappé le large de l’Indonésie, mercredi 2 mars. Une brève alerte au tsunami a été lancée sur la région nord et ouest de Sumatra, et notamment pour les zones d’Aceh, Bengkulu et Lampung, avant d’être levée. Plusieurs morts ont toutefois été signalés en Indonésie par des services de secours locaux, mais aucun bilan n’a été avancé.

    Selon le Centre américain de veille sismique (USGS), l’épicentre a été localisé à 808 km au sud-ouest de Padang, sur l’île de Sumatra, et 24 km sous la surface de la croûte terrestre. L’USGS avait estimé que la probabilité que « la probabilité de victimes et de dégâts » causés par le séisme était « faible », la secousse s’étant produite assez loin des terres.

    Le séisme a été ressenti fortement pendant quelques secondes à Padang, principale ville de Sumatra la plus proche de l’épicentre du séisme. Des habitants ont quitté précipitamment leurs maisons, et les rues ont été le théâtre de scènes de panique.

    Le 26 décembre 2004, un séisme de 9,15 degrés de magnitude s’était produit à 250 km au sud-ouest de l’île de Sumatra. Le tsunami généré par la secousse avait fait plus de 250 000 morts, dont 168 000 morts dans la seule province d’Aceh. L’Indonésie est située sur la « ceinture de feu » du Pacifique, où la collision de plaques tectoniques cause de fréquents séismes et une importante activité volcanique.



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  • Le match Hillary Clinton-Donald Trump se confirme

    02/03/2016 à 15h17 Mis à jour le 02/03/2016 à 16h14    Lien
     
     
     

    L’investiture se profile pour la démocrate Hillary Clinton et le républicain Donald Trump après le Super Tuesday. Les deux candidats ont renforcé leurs positions et devraient en toute logique représenter chacun leur camp pour la  présidentielle américaine.

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